Poésie abstraite Il n’est que de rencontrer les
Il n’est que de rencontrer les toiles de Daniel SAINT-AIGNAN.
Rêves de douceur qui se glissent derrière ses toiles d’où filtrent les pastels tendres, lueurs roses violines et bleus-bruines, verts soyeux ou bleuâtres mystérieusement traversées d’un fil ocre ou bleu qui surgit et disparaît dans le coin gauche du tableau... ses expositions de lumières-fureurs, de ses tourbillons de couleurs douceurs, de ses turbulences d’émotions-passions ce qui impulse son être, sa vie, sa vérité intérieure... Est-ce parce q qu’il donne tout de lui quand il crée pour que puisse s’offrir en cadeau, au regard qui s’arrêtera sur la toile, la “résonance intérieure” de sa peinture... Mais pour quoi chercher à comprendre, chercher à dire ou à écrire ? Faut-il que le profane essaie de démasquer le peintre ? Daniel SAINT-AIGNAN est lui-même! Point n’est besoin de dire qui il est, comment il peint, d’où il vient, comment il vit pour apprécier sa peinture. Il suffit d’entendre, de sentir, de goûter, de regarder.